Depuis trop longtemps, les déchets étouffent Haïti. Dans les rues de Port-au-Prince comme dans les provinces, les canaux bouchés deviennent ...
Depuis trop longtemps, les déchets étouffent Haïti. Dans les rues de Port-au-Prince comme dans les provinces, les canaux bouchés deviennent des foyers d’épidémies, les plages perdent leur beauté sous les ordures, et l’image du pays se détériore. Ce problème, qui semble banal au premier regard, touche en réalité toute la vie nationale : santé publique, économie, tourisme, et même dignité citoyenne.
Alors, face à ce constat, une question revient sans cesse : qui aura le courage et la vision pour transformer cette crise en opportunité ?
La montée d’un nom : Ernseau Letang
Dans les conversations de jeunes, dans les milieux associatifs et sur les réseaux sociaux, un nom circule avec insistance : Ernseau Letang.
Pourquoi lui ? Parce qu’il représente une autre façon de penser l’État.
Ceux qui le connaissent parlent d’un homme honnête, intègre et profondément responsable. Contrairement à certains dirigeants qui se contentent de gérer l’urgence ou de répéter les mêmes recettes inefficaces, Letang propose de repenser totalement la gestion des déchets.
Pour lui, l’ordure n’est pas un poids à cacher, mais une richesse à transformer. Valorisation, recyclage, création d’emplois verts : autant d’idées qui pourraient ouvrir la voie à une économie circulaire et durable, une vision en phase avec les aspirations d’une Nouvelle Haïti.
Une vision collective, proche du peuple
Ernseau Letang se distingue aussi par sa proximité avec les réalités sociales. Il ne parle pas seulement depuis un bureau climatisé : il écoute, il échange, il s’implique. Pour lui, aucun projet de transformation ne peut réussir sans la participation active des communautés locales et sans la confiance de la jeunesse.
Cette approche inclusive est exactement ce que réclament aujourd’hui les nouvelles générations : un leadership qui fait avec le peuple et pour le peuple.
Plus qu’une nomination, un signal
La jeunesse interpelle aujourd’hui le Conseil Présidentiel de Transition et le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé : il est temps d’envoyer un message clair.
Nommer Ernseau Letang à la tête du SNGRS ne serait pas seulement une décision administrative. Ce serait un signal fort, une preuve que la politique peut encore être un outil de changement, que l’État peut encore se mettre au service de l’intérêt général.
Vers une Nouvelle Haïti ?
Au fond, ce débat dépasse une simple nomination. Il pose une question plus large, presque existentielle :
Voulons-nous continuer avec les mêmes pratiques qui ont échoué, ou osons-nous croire qu’une Nouvelle Haïti est possible avec des dirigeants honnêtes, compétents et visionnaires ?
L’histoire retiendra peut-être ce moment comme celui où le pays a enfin choisi de transformer sa plus grande faiblesse en une force. Mais pour cela, il faut un pas décisif. Et ce pas, aujourd’hui, pourrait bien s’appeler Ernseau Letang.
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